Bilan cure anti-tabac par les élixirs floraux
Comment la réussir ?…
Article publié le 16 juin 2007 sur mon site Aromalves par Jacques David, producteur et distributeur de fleurs de Bach
… D’abord en suivant le mode d’emploi, bien entendu ! Cela paraît évident, et pourtant… force est de constater que nombreux sont ceux qui confondent encore cure florale et patch. Pourtant, il ne viendrait à l’idée de personne de faire griller du pain dans une lessiveuse.
La cure anti-tabac (Chamomile, Yarrow, Yarrow Environmental, Nicotiana, mélange mis au point par Lydie Bonnet-Alves) ne connaît pas que des succès, et ce pour deux raisons.
Première raison : on n’a pas lu le mode d’emploi
Il ne doit y avoir aucune intervention de la volonté. Dès lors que l’on se durcit pour « y arriver coûte que coûte », on introduit une privation, une frustration qui renforce le besoin de tabac.
Solutions : il y en a deux :
– Solution n°1 : lire le mode d’emploi…
– Solution n°2 : si on ne peut pas s’empêcher de faire intervenir la volonté, alors mieux vaut se rabattre sur les procédures classiques…
Deuxième raison : le multicouche
La cure ne fonctionne que si le tabac est le « seul » problème.
Lorsque la dépendance a des causes « simples », la cure fonctionne très bien :
– on a tout simplement pris cette habitude à l’adolescence, pour faire comme tout le monde ;
– suite à une tension professionnelle excessive ;
– par frustration face à un mode de vie déshumanisé.
Dans tous ces cas, le tabac est le seul problème : une habitude ou frustration précise déclenche directement la dépendance. C’est du « monocouche ».
Par contre, si le problème « tabac » est venu se superposer à d’autres problèmes, ou a été facilité par eux, il faut régler ces problèmes pour obtenir le résultat. Par exemple, chez une personne ayant de graves problèmes relationnels, la cigarette, en plus des causes vues ci-dessus, sera utilisée comme une tentative de relaxation, à la fois au niveau du geste et au niveau de la nicotine. Tant que ce problème n’est pas résolu, la dépendance au tabac ne peut pas l’être non plus.
Bien qu’expliqués à de multiples reprises dans différents forums, ces principes sont trop souvent négligés. On confond cure florale et patch, or les fonctionnements sont différents. D’où des résultats fracassants chez les « monocouche », et une absence de résultats chez les autres, qui pourtant auraient bien pu s’en douter.
Il n’y a pas besoin de beaucoup s’analyser pour savoir si on est un fumeur « multicouche » ou « monocouche ». Dans le premier cas, il est préférable de prendre rendez-vous pour une approche personnalisée. L’énergétique est dans certains cas nécessaire pour obtenir une bonne synergie, et dans tous les cas il faut identifier clairement le ou les élixirs floraux correspondant aux états psychologiques sous-jacents.
Rappelons au passage le nom de quelques autres élixirs qui peuvent être indiqués dans le sevrage :
– Morning Glory – pour ceux qui d’une façon générale « brûlent la chandelle par les deux bouts », manifestent plusieurs addictions, ont tendance à des horaires déréglés (les « couche-tard ») avec incapacité à « émerger » le matin.
– Cherry Plum – pour ceux qui ressentent une extrême tension avec peur de « basculer » : dans la folie, dans des actes asociaux…
– Milkweed – dépendance et régression affective, désir pour tout ce qui « abrutit ».
Ce ne sont que quelques exemples décrits très schématiquement, il ne faut pas sauter à pied joint sur tel remède sur la base d’une analyse superficielle. Mais ces seuls exemples suffisent à montrer que, au-delà de la cure classique, il y a matière à personnaliser.
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